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L’autorail Bugatti invité d’honneur de la 50e édition du salon Rétromobile
L'Alsace
31/10/2025
Considéré comme le plus grand salon du véhicule ancien en Europe, Rétromobile souffle en 2026 ses 50 bougies. Pour que l’anniversaire soit exceptionnel, les organisateurs vont exposer, Porte de Versailles à Paris, l’autorail Bugatti de la Cité du train de Mulhouse. Le patrimoine alsacien sera au cœur de cette manifestation où 150 000 visiteurs sont attendus - du 28 janvier au 1er février 2026.
Molsheim avant Paris.- L’idée un peu folle d’embarquer le dernier autorail Bugatti, Portes de Versailles à Paris, n’a pu naître que parce qu’il y a eu le précédent de Molsheim , en septembre 2023. Déjà une aventure « zinzin » quand il avait fallu emmener, par la route, un autorail de 24 mètres de long et de 32 tonnes à vide - une pièce unique au monde - jusque dans la cour d’un ancien monastère en plein centre-ville. « Le succès incroyable de Molsheim m’a incité, l’année dernière, à rencontrer Romain Grabowski, le directeur de Rétromobile durant le salon pour lui proposer le projet », se souvient Sylvain Vernerey, le directeur de la Cité du train. Romain Grabowski est d’accord mais à une seule condition : que contrairement à Molsheim où l’autorail était resté sur le plateau du camion dans la cour de la Chartreuse, il soit exposé à Paris sur des rails ! « C’est à la louche 30 mètres de rails à poser au sol. Mais on a dit “banco” ! » Le directeur de la Cité du train sait qu’il peut compter sur Nicolas Olivry, artisan transporteur venu de Savoie, spécialisé dans les convois hors-norme avec qui il travaille main dans la main. « On ne connaît pas encore le jour du départ mais on sait qu’il faudra être à Paris avant les autres exposants car ce sera probablement le plus gros véhicule à rentrer dans le hall du bas. »
Autour de l’autorail, Bugatti encore.- Rétromobile veut faire un très gros salon et ne souhaite pas se contenter du dernier autorail Bugatti - sur les 88 construits par Bugatti à Molsheim - pour attirer la foule parisienne. Cette exposition sera mise en lumière par les ateliers Mathieu Lustrerie (labellisés Entreprise du Patrimoine Vivant), et réunira également quelques-unes des créations les plus atypiques de l’ingénieur alsacien. Sont annoncées une Monoplace F1 à moteur transversal arrière, prototype de Type 73 berline-sport ou encore la Bugatti Type 56 personnelle d’Ettore Bugatti à propulsion électrique… Ce ne sont là que quelques-unes des bizarreries mécaniques qui s’exposeront dans le pavillon 7.1 autour de l’autorail.
Molsheim avant Paris.- L’idée un peu folle d’embarquer le dernier autorail Bugatti, Portes de Versailles à Paris, n’a pu naître que parce qu’il y a eu le précédent de Molsheim , en septembre 2023. Déjà une aventure « zinzin » quand il avait fallu emmener, par la route, un autorail de 24 mètres de long et de 32 tonnes à vide - une pièce unique au monde - jusque dans la cour d’un ancien monastère en plein centre-ville. « Le succès incroyable de Molsheim m’a incité, l’année dernière, à rencontrer Romain Grabowski, le directeur de Rétromobile durant le salon pour lui proposer le projet », se souvient Sylvain Vernerey, le directeur de la Cité du train. Romain Grabowski est d’accord mais à une seule condition : que contrairement à Molsheim où l’autorail était resté sur le plateau du camion dans la cour de la Chartreuse, il soit exposé à Paris sur des rails ! « C’est à la louche 30 mètres de rails à poser au sol. Mais on a dit “banco” ! » Le directeur de la Cité du train sait qu’il peut compter sur Nicolas Olivry, artisan transporteur venu de Savoie, spécialisé dans les convois hors-norme avec qui il travaille main dans la main. « On ne connaît pas encore le jour du départ mais on sait qu’il faudra être à Paris avant les autres exposants car ce sera probablement le plus gros véhicule à rentrer dans le hall du bas. »
Autour de l’autorail, Bugatti encore.- Rétromobile veut faire un très gros salon et ne souhaite pas se contenter du dernier autorail Bugatti - sur les 88 construits par Bugatti à Molsheim - pour attirer la foule parisienne. Cette exposition sera mise en lumière par les ateliers Mathieu Lustrerie (labellisés Entreprise du Patrimoine Vivant), et réunira également quelques-unes des créations les plus atypiques de l’ingénieur alsacien. Sont annoncées une Monoplace F1 à moteur transversal arrière, prototype de Type 73 berline-sport ou encore la Bugatti Type 56 personnelle d’Ettore Bugatti à propulsion électrique… Ce ne sont là que quelques-unes des bizarreries mécaniques qui s’exposeront dans le pavillon 7.1 autour de l’autorail.
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