Ouest France
31/05/2025
L’Assemblée nationale a voté, mercredi soir, la suppression des zones à faibles émissions (ZFE), qui limitaient la circulation des véhicules thermiques dans les grandes villes. Portée par le RN et LR, la mesure, soutenue aussi par LFI, vise à répondre à la grogne face aux restrictions jugées injustes. La majorité présidentielle dénonce un recul écologique.
L’Assemblée nationale a approuvé dans la soirée de mercredi 28 mai 2025
la suppression des « zones à faibles émissions » , qui restreignent la circulation de certains véhicules thermiques (c’est-à-dire qui fonctionnent à l’essence ou au diesel), en adoptant un article du projet de loi de
« simplification ».
Créées en 2019, les zones à faibles émissions (ZFE) visaient à améliorer la qualité de l’air en limitant les émissions de particules fines notamment dans les grandes agglomérations. Mais elles étaient de plus en plus contestées, y compris à gauche, pour leur impact sur les ménages modestes du fait du coût de remplacement des véhicules par exemple.
L’Assemblée nationale a approuvé dans la soirée de mercredi 28 mai 2025
la suppression des « zones à faibles émissions » , qui restreignent la circulation de certains véhicules thermiques (c’est-à-dire qui fonctionnent à l’essence ou au diesel), en adoptant un article du projet de loi de
« simplification ».
Créées en 2019, les zones à faibles émissions (ZFE) visaient à améliorer la qualité de l’air en limitant les émissions de particules fines notamment dans les grandes agglomérations. Mais elles étaient de plus en plus contestées, y compris à gauche, pour leur impact sur les ménages modestes du fait du coût de remplacement des véhicules par exemple.
La France insoumise, le Rassemblement national et Les Républicains unis
Portée par des amendements du Rassemblement National et du groupe Les Républicains, la mesure a été adoptée par 98 voix contre 51. Le vote devra encore être confirmé par l’adoption du projet de loi dans son intégralité.